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L’alliance occidentale en plein délire écologique ?

Salvagnac, le mardi 26 septembre 2023

La bataille ne fait que commencer, mais quels sont les enjeux ?

J’avais 17 ou 18 ans quand j’ai lu « 1984 » de G.Orwell. Je n’en mesure toute la portée que depuis 2020/2021. Je vais avoir 60 ans dans quelques mois et jamais je n’aurais cru vivre un changement de société aussi brutal, car imposé, suggéré, conseillé, par des forces d’argent et de pouvoir que je n’ose imaginer. Les Bernard Gui sont de retour, et avec lui les hérétiques. Que devaient crier les hommes lors du réchauffement climatique qui a eu lieu au moyen-âge, avant que la petite ère glacière s’empare des sujets de Louis XIV ?

Le changement fait partie de nos vies, de toutes les vies, donc de celle de la terre. En tant que simple observateur, né en ville, puis parti à la campagne, je note seulement que la concentration de CO2 est néfaste, mais que sans lui, il n’y aurait pas de vie. Je note aussi qu’il y a infiniment moins d’insectes, et cela m’inquiète beaucoup plus, au moment même où l’union européenne est en passe de reporter l’interdiction du glyphosate de dix ans supplémentaires. On attend de devoir employer des ouvriers pour déposer le pollen dans les fleurs des arbres fruitiers ? On attend de voir le ciel sans oiseaux ? Quel est le rapport entre biodiversité et CO2 ?

La minorité de la population mondiale veut « sauver la planète », cette minorité qui a créé les nids de pollution d’aujourd’hui, et qui veut interdire à la majorité, celle qui n’a pas encore accès à un minimum de confort, d’oublier les énergies fossiles, moteur de toute croissance économique (jusqu’à preuve du contraire, et tant que le PIB sera le dogme) ? Que l’avenir est ailleurs ? Dans des énergies (soit-disant) renouvelables nécessitant des investissements colossaux au regard de l’énergie produite ? Au moment même où les montagnes de dettes déjà contractées pourraient nous péter à la figure comme en 2008 …

J’arrête là pour aujourd’hui, mais je vois la politique économique de Bruxelles comme un suicide économique collectif. Les enjeux ? En premier lieu notre liberté.

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