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Au matin de la première nuit

Salvagnac, le 17 février 2019

Voilà, la vie en Grésigne s’achève – après onze ans passés tout près de la forêt de Grésigne, au bout d’un chemin de 1,3 kilomètre, en bas du village de Puycelsi, nous voici à Salvagnac, en campagne aussi, à 15 kilomètres de notre ex-domicile. Sur une colline (ou pech, puech en occitan) est située la maison, à 200 mètres d’altitude, d’où le titre de cette nouvelle rubrique, qui remplacera l’ancienne – Charles Ingalls aurait pu être le héros de la petite maison sur la colline, mais non, il a choisi la prairie, alors je la prendrai, cette colline, mais pas en tant qu’héros – un simple humain parmi des milliards, un petit point sur le globe 🙂

Après une première nuit « réussie » à « Pech agut », voici le lever du soleil au dessus du coteau d’en face, côté est à 8h21 (soleil un peu trop puissant, j’ai raté le meilleur moment, je ferai mieux la prochaine fois !) – au premier plan la jument Quelea (anglo-arabe) et le bouc Marco, à peine visible sur l’image – au fond, Salvagnac.

Lever du jour avec Quelea et Marco

Lever du jour avec Quelea et Marco

Les chiens se sont déjà sauvés une fois (terrain bien clôturé, mais ça creuse toujours un chien motivé, une petite faille dans la clôture, de la terre meuble ou autre, ils trouvent toujours …) – deux sur trois en vadrouille ce matin, ce qui m’a permis de connaître mon voisin le plus proche, 100 hectares de terres, retraité mais encore avec trente vaches (pour la viande) – j’ai retrouvé mes chiens, inévitablement attirés par l’odeur des vaches (3 en l’occurrence, sur l’une de ses innombrables parcelles) – ainsi, nous avons pu nous présenter avec le petit hectare virgule 7 sur lequel est posé la maison … la suite de nos histoires du cru dans de prochains articles !

A mercredi pour un article sur la bourse.

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