Blog

DOW-JONES : PPh* pile en clôture (12951)

* Pour celles et ceux qui ne connaissent pas l’indicateur-prix point-pivot, cliquez ICI


Article n°12032


22h30 TENDANCE ET OPTIONS POUR DEMAIN – séance du mercredi 5 décembre 2012 


Pour les nouveaux arrivants, merci de lire l’historique et les objectifs du blog NT

NouveauTrader 7ème sur 751 analystes en 2011 !

 

Trader’s Mag a publié un article NT en pages 32 et 33  dans son numéro de novembre 2012, un article simple et compréhensible au niveau de la totalité des personnes tentées par la spéculation boursière : pour lire l’article et l’ensemble du magazine virtuel, cliquez ICI

 

Auto-publicité : « cela vaut ce que cela vaut », mais la semaine du 25.11.2012, j’ai modestement terminé premier sur le site www.2bremans.fr/classement-hebdomadaire


NOUVEAU PARTENAIRE WWW.SIGNALDETRADING.COM

Le service de base de ce nouveau partenaire est gratuit jusqu’au 15 décembre prochain, testez-le en vous inscrivant simplement sur son blog (publicité à votre droite ou le lien ci-dessus) !


—————————————————————–

Points-clé valides pour la séance du mercredi 5 décembre 2012

PP 05.12.12

S3j

S2j

S1j

PPj

R1j

R2j

R3j

CAC40

3529

3546

3563

3580

3597

3614

3631

DOW-JONES

12838

12889

12920

12971

13003

13054

13085

Les points-clé journaliers des actions

——————————————————————


Programme du jour : ventes de détail de novembre en Eurozonerie (11h00), emploi du secteur privé en novembre aux USA (ADP, 14h15), productivité trimestrielle (USA, secode estimation 3ème trimestre, 14h30), commandes à l’industrie en octobre et ISM dans les services en novembre (USA, 16h00)


CAC40 : ATTEND LE BOSS POUR PASSER 3600 EN CLÔTURE ? OU SECOND ECHEC ?


19h00 : qui peut dire, alors que nous attaquons vraiment la semaine demain, avec les premiers chiffres macro-économiques majeurs en provenance des uSA, ce que fera le CAC40 pour Noël ? Sauf à prolonger la courbe dans la tendance de fond, on peut avancer 3650 ou 3750 points au mieux, en précisant que ce joli cadeau potentiel de fin d’année tomberait à l’eau en cas de clôture journalière sous les PPh (3540) et encore plus sous le PP mensuel des 3495 points.

L’avantage reste donc en main aux haussiers dans une configuration qui se précise bien « larvée » (on monte doucement mais sûrement, on s’appuie sur les supports classiques PPj, voir aujourd’hui, deux fois) – mon premier niveau d’alerte serait une clôture sous le fameux démarrage d’hier vers 3565 à l’ouverture du mois de décembre – sous 3560 (S1j 3563 plus bas de ce jour), les légères prises de profits effectuées sur le PEA donneront peut-être lieu à des tentatives de rachats en cas de bonne tenue des 3540/3490 – à suivre …


Le Boss, pour sa part, se refuse toujours aux 13000 après la fausse sortie de tout à l’heure et confirme jusqu’à maintenant son échec au franchissement des 13060/13120 évoqués depuis quelques séances, niveau monté au delà de la R1h (13135/140) lundi – tant que l’on ne repasse pas au delà des 13060, on doit rester très méfiant car les 12925/30 PP mensuel sont proches des cours actuels (12945 vers 19h20) – acheter au plus près de ce support peut être payant, mais il est préférable d’attendre un premier appui et un démarrage haussier confirmé (comme cette nuit, test de 3h à 7h du matin et départ haussier, je ne dis pas qu’il faut ne plus dormir, ne jouez surtout pas à ce jeu – c’est juste pour donner un exemple de configuration de rebond sur support de moyen terme) – on a donc frôlé les 12930 ce matin avant 7h00, on peut très bien y revenir séance ouverte – si ce n’est pas le cas, on retrouvera les mêmes résistances sur l’éventuel pull-back de la fin de séance (12970/12990/13005/12025 et peut-être sortie par le haut ensuite), à suivre …



EUROPE ET ETATS-UNIS : LA NUIT ET LE JOUR


Préambule : ce paragraphe n’est pas une apologie de l’Amérique – en outre, il ne tient pas compte des aspects vie politique, sociale, ni d’aucune autre donnée se rapportant à des choix de sociétés (Dieu dollar par exemple etc).

Il ne s’agit donc que de données macro-économiques rapportées par JP Chevallier sur les masses monétaires en zone-euro : entre les banques de l’UE qui sont loin des critères de Bâle III et la politique monétaire de la BCE qui semble jouer pour la victoire sans bataille des USA dans la guerre économique (Monti envoyé de Satan Goldman Sachs ?), il serait logique de voir les marchés européens plus attaqués que leurs homologues américains dans les trimestres à venir. L’attaque en règle du dollar procède de cette rixe économique : l’euro remonte au delà de 1.30$ depuis hier, n’arrangeant pas non plus les affaires des entreprises de l’UE qui facturent en dollars avec une structure de coûts encore trop importante libellée en euros (encore une bonne raison de délocaliser, voir Eads par exemple).

Même si les USA sont surendettés, leurs populations civiles disposent d’une épargne disponible moyenne en hausse alors que c’est le contraire chez nous : les US épargnent plus que d’habitude car ils manquent de confiance avec la crise mondiale qui a durement touché des régions entières (ils ne sont pas cons, ne croyez pas, ce sont des hommes, comme nous, et des bosseurs aussi, bref) – nous, nous ne pouvons plus épargner + en moyenne, nous consommons une partie de ce bas-de-laine, ou faisons de gros efforts pour ne pas piocher dedans (en s’appliquant à soi-même une austérité acceptée par exemple). Je ne parle pas de la minorité qui tire profit de cette crise systémique ou qui s’évade partiellement fiscalement, mais du ventre moyen et faible de la population, qu’elle soit active ou inactive, voire retraitée, handicapée, malade, écolière ou étudiante etc – c’est sur elle, cette majorité de fourmis, que pèse l’essentiel de la facture, qui devrait s’étaler sur des lustres. En y ajoutant les hausses de prix des denrées alimentaires décidées également par le Boss, la consommation s’en retrouve normalement dégradée en euro-zonerie, ce qui rejaillit sur l’emploi etc, etc, un cercle vicieux qui donne 18 mois d’affilée de hausse des sans-emploi en France. Les problèmes européens ne sont pas « bidon », ils sont structurels – d’ailleurs, la valorisation moyenne du CAC40 a baissé de 40% en 10 ans, en passant par 2500 points, ce qui montre que le « fondamental long terme » n’est pas bon.

Enfin, ces problèmes rejaillissent sur les volumes d’exportations vers l’UE : voilà qui ennuie la Chine, l’Inde, le Japon, mais aussi l’Allemagne et les pays de l’est du continent comme la Russie et pays « pauvres » de l’UE qui nous taillent en pièces aussi sur l’échiquier de la concurrence internationale …


Conclusion pour l’investisseur sur PEA : choix drastique des valeurs, patience et prudence seront encore les mots d’ordres que je suivrai pour la gestion moyen-long terme du PEA en 2013 …



PEA, ACTIONS MOYEN-LONG TERME

Situation du compte à hier soir, ordres programmés et historique des opérations, cliquez ICI

Rappel1 : la sélection des entreprises du BEL20 est à lire ICI.

Rappel2 : de fraîches analyses fondamentales de Veolia, Suez Envt et LVMH sont à lire ICI.


Eads ne fait plus partie du compte, sorti sur stop-gain pour 7% de gain net (achat du 15 novembre dernier à 25.01 euros) – j’attends un possible repli vers les 25 euros, 25 euros 50, pour revenir sur la valeur avec une avance de 10.77% suite aux deux opérations réalisée depuis septembre – titre de complément, qui peut devenir volatile, y compris à la baisse.

Concernant Vallourec, valeur de complément également trop volatile pour devenir une base, sauf si je réussissais à diminuer fortement mon prix de revient réel : je remonte le stop-gain à 39.10 euros pour un bénéfice théorique de 9.88% et une avance de 33% en réserve, certes pour un poids minimaliste de 1% du capital de départ (prix de revient réel actuel à 29.20 euros).

Ainsi, en cas d’exécution, l’exposition passerait à 27% pour un objectif de 20% en fin d’année : l’objectif est de dynamiser le cash en 2013, et de maintenir un investissement diversifié de base d’environ 25% en moyenne, sous-entendu sans éclaircies au plan fondamental. Le court et très court terme devraient prendre leur rythme de croisière et mieux soutenir la performance sur les périodes haussières – quant au grand moment, ce sera lors du prochain krach – comme je l’écris tout le tant depuis septembre 2005, il y en a régulièrement et il faut toujours s’y préparer, et surtout ensuite, tenir une partie des positions plusieurs trimestres – en 2009 et 2011, j’ai fait mieux qu’en 2003 (mon premier, très perdant), mais je n’ai pas été suffisamment claivoyant quant aux tailles des positions et irrespectueux de certains choix de moyen-long terme qui évoluaient très bien (j’ai quasi-tout vendu en janvier 2008). Mais la bourse comme la vie, ça défile sans jamais s’arrêter, et tant que la ruine n’est pas passée par votre portefeuille de long terme (assurance stop-loss est faite pour ça quand on est fortement exposé) et que vous avez su éviter le pire, il n’est jamais trop tard pour mieux faire en respectant quelques principes de base (voir page formations, ou prenez du temps pour visiter les sites d’apprentissage gratuits, vous aurez les bases de gestion, et serez conscients des risques classiques que prennent la plupart des nouveaux actionnaires, ou spéculateurs – c’est le même principe, sauf que le massacre se produit plus rapidement avec le levier potentiel, utilisé sans formation par trop de débutants).

Finalement, il suffit déjà par commencer à risquer ce que l’on peut perdre EN TOTALITE (vous serez alors moins déçu si un jour, vous en êtes à -70%) : un propriétaire de son logement (fini de payé), sans enfant, disposant de 5.000 euros de revenus mensuels nets, de 100.000 euros de cash + une assurance-vie en euros de 80.000 euros, ne va pas ponctionner la même somme pour la bourse que l’employé de bureau à 2.000 euros avec 10.000E sur livret A et 50% de son revenu qui part dans son logement, le reste dans ses déplacements, charges diverses et petites sorties pas chères quatre fois par mois (boîtes et rencontres Meetic par exemple). Le premier pourra commencer détendu avec 10 ou 20.000 euros, le second ira plutôt voir sur les micro-contrats CFD offerts par certains brokers et y mettra 1.000 euros maximum (10% de son épargne) sans espoir de richesse – cette notion d’exposition, autant à long terme qu’en trading, est cruciale ! Travaillez sur cette problématique, sachant que si vous achetez 1000 actions à 10,75 euros (10.750 euros) ou 3 contrats CAC CFD à 3586 points cours actuel X 1 euro par contrat = 10758 euros ===> vous avec une exposition identique. Si vous disposez de 2.500 euros sur vottre compte actions, vous aurez besoin d’intervenir avec un levier de 10.750/2.500 = 4,3 _ au CFD, c’est la même chose, SAUF que le broker, avec son système de marge, vous laisse monter bien plus haut que le X5 maximum su SRD – JE REPETE DONC UNE NOUVELLE FOIS A QUI VEUT BIEN L’ENTENDRE : au delà de levier X4, la logique commence à disparaître et la plupart des humains font des erreurs (trop de pression, trop de g, le levier est un accélérateur, de pertes aussi !).

Voilà, j’ai dérivé un peu, mais cela est important pour mieux comprendre ce PEA dont la gestion montre d’abord comment éviter la ruine – quant à la prise de risque, elle est effectivement inférieure à la moyenne, mais l’apport du court terme devrait améliorer la performance totu en maintenant le risque à un niveau proche de celui adopté depuis janvier 2010 –> minimum car protecteur du capital de départ et anti-volatilité de la valorisation (qui entraîne également des grosses erreurs quand c’est du négatif latent qui l’emporte à un moment donné).


Je ferai une image du compte demain soir, j’ai manqué de temps après la séance du jour, et à 21h35 et 3588, cela n’apporterait pas grand chose – Eads a disparu, c’est le seul changement.


*****************

« ACCELERATION OVERNIGHT NT » (PEA)

Nous sommes deux à sélectionner des titres à partir de 17h00 QUAND IL Y A DES OPPORTUNITES (il y en aura sans arrêt sur les tendances haussières – moins quand le marché dévisse …) : l’objectif 1 est de sortir partiellement le lendemain entre 9h03 et maximum 9h15 lorsque la position est gagnante – lorsqu’elle perd, la sortie se fait au plus tard à 9h15 – l’exposition que je prendrai sera indiquée sur le blog avant 17h25 et sera relayée sur le tchat également par le trader qui teste cette formule depuis plusieurs mois : je ne dépasserai pas 10% du capital et sortirai partiellement une moitié voire 100% de la position à l’objectif 1 sur les titres que j’estimerai inaptes à être conservés pour le moyen-long terme, et il y en aura beaucoup. Les valeurs estimées dangereuses seront repérables, je mettrai un avertissement bien visible dans l’article.

Cette gestion complémentaire est destinée à doper la performance globale du compte avec régularité, à suivre …

Entre parenthèse le cumul de l’incidence globale sur le portefeuille

 

1 – 15/11/2012 aucun achat

2 – 16/11/2012 aucun achat

3 – 19/11/2012 perte -0.99% (-0.0495%)

4 – 20/11/2012 aucun achat

5 – 21/11/2012 gain +3.17% (+0.109%)

6 – 22/11/2012 aucun achat

7 – 23/11/2012 aucun achat

8 – 26/11/2012 aucun achat

9 – 27/11/2012 perte -3.44% (-0.063%)

10 – 28/11/2012 aucun achat

11 – 29/11/2012 gain +2.62% (+0.065)

12 – 30/11/2012 aucun achat

13 – 3/12/2012 aucun achat

14 – 4/12/2012 aucun achat

15 – RDV demain à partir de 17h15 dans un article et sur le tchat pour opportunité éventuelle.


******************


A LIRE CONCERNANT LA CRISE GRECQUE ET PLUS GENERALEMENT DU SURENDETTEMENT PUBLIC ET DE SON TRAITEMENT

Excellent article : « Danses autour de la dette »


22H05 : morne fin de séance pour le DOW, qui revient sur PPh pile en clôture (12951, zone 12950/55) en repli léger de 0.11% – vers 22h15 on n’a pas bougé – le pivot jour, lui, a baissé d’un cran, à 12970/75 …


ANALYSE RAPIDE POINT-PIVOT POUR DEMAIN


Analyse DOW : PPj 12970/75, prédisposition baissière en intraday, avec le PPh comme enjeu à la veille de l’ADP – sous 12940, on retrouverait sans doute (pour quelques points) le PP mensuel des 12925/30 effleuré la nuit dernière au CFD. Ce n’est que sous 12890 (comme déjà écrit, 12889 sera S1j demain) que les choses pourraient se gâter, contre le Père Noël … 12835/40 S3j/S1h comme première grosse résistance en cas de cassure des 12890.

Au dessus des 12975, la même zone 13000/13005 sera R1j au lieu de pPj, avec 13020/25 dernier plus haut juste derrière – au delà des 13030, 13055/60 voire 13085/13090 dernier plus haut seraient les cibles.


Analyse CAC40 : 3580 PPj, soit quasi-iodentique à celui de ce jour – cours CFD à 3585, c’est mieux orienté qu’à NY, d’une poignée de points – supports à 3563 (on le connait depuis hier en matinée, le départ de décembre) et 3545/50 voire 3540/3530 – sous 3520, attention au retour vers PPm (3495).

Résistances : 3595/600, 3615/20 et 3630/35 – ne pas négliger, avec les « stats us », la cible théorique des 3645/50 (R1h) en cas de départ haussier, invalidation sous 3540 en clôture. Si on devait atteindre cette première résistance, je prendrai quelques dispositions pour réduire encore un poil l’exposition du PEA avant 2013.


DU NOUVEAU SUR NT –> la gestion du PEA et menu de formation


Après plusieurs années de tests, d’apprentissage, d’échanges humains, je me suis rendu compte que la bourse ne récompensait que « la professionnal attitude », si je puis me permettre ce terme pédant, mais c’est pour la détente et l’humour, le premier sens de ma vie. Dans un monde de brutes sans pitié qui existent grâce à ce que vous leur laissez généreusement, la rigueur et une gestion sans faille sont indispensables. De plus, face aux robots et au Boss plus que centenaire, nos petits ordinateurs et nos cerveaux « standard » sont toujours en retard d’un métro. Il faut donc réussir à simplifier (une stratégie adaptée à nos contraintes) tout en atteignant un niveau régulier d’efficacité : dans un monde de brutes, il faut être « brut », on débranche les liaisons émotionnelles et on devient, au mieux que l’on peut (ça se travaille), un froid boa qui attend patiemment que le moment d’agir arrive : entrer en position, gérer la position, sortir de la position, au sein d’une gestion globale d’un capital boursier.

Exemple : si vous vendez à contre-tendance l’indice CAC40 à 3445 points (résistance théorique PPh), vous savez que vous faites un pari sur un retournement potentiel, mais le marché vous dit « achat dans la tendance », cela tant qu’aucun signal de repli n’est donné après éventuel échec sous PPh –> à l’instant où vous vendez, la tendance de fond reste baissière mais vous êtes contre le « trend » de la journée et rien ne vous dit à l’avance s’il va s’arrêter sur cette résistance –> votre probabilité d’être en échec est supérieure à celle du trader qui attendra un signal de vente avec les prix sous PPh.

Quand je vends à contre-tendance en anticipant le maintien de la tendance de fond baissière, si mon stop saute, ce n’est pas très dommageable car j’ai des actions en face (l’investisseur est en général exposé en permanence sur un minimum de titres) —> cela permet de régler la taille du trade à la vente, mettre un stop adéquat qui sera couvert par la hausse des actions. Toutefois, ce type de gestion doit être limitée et occasionner régulièrement des gains, sinon, le capital global fait du surplace.

Conclusion : couvrir un portefeuille par des ventes de l’indice, oui, mais à 75% minimum, les opérations doivent se réaliser dans un « trend » et une tendance de fond baissière.


On ne fait donc pas n’importe quoi en bourse (les paris au sens « jeu » amènent des pertes à plus ou moins longue échéance), c’est ce que j’espère vous faire comprendre au travers de deux façons différentes d’accélérer la performance sur les actions au PEA (grâce à quatre personnes, des partenaires durables), et d’un menu de formations à la carte.


Ces nouveaux services sont maintenant disponibles, je vous les présente rapidement :


1/ La configuration « accélération overnight », déléguée à un partenaire indépendant : on achète un ou plusieurs titres (ou zéro si aucune opportunité) chaque soir entre 17h15 et 17h30/35 – 1/ on le solde à 75% ou en totalité (selon type de valeurs et fondamentaux) le lendemain matin à 9h15 au plus tard – poids de chaque ordre 10% du capital maximum, 4% minimum – 2/ on gére l’éventuel solde au stop-gain ou sur objectif si l’opération est associée à un horizon de très court terme.


2/ Les signaux « SDT » swing-trading : second partenaire avec blog internet et abonnements – de temps en temps, je suivrai ses signaux, avec stops et objectifs, et relaierai ici la performance du portefeuille réel qu’il tiendra sur son blog.


3/ Un menu de 14 sessions d’une heure par skype, chaque plat sera vendu 40 euros, c’est du quatre étoiles avec 11 ans de passé boursier, une sorte de synthèse de la bible : toutes les bases pour gérer ses avoirs boursiers de façon objective, en regardant des graphiques en temps réel – à base de PP et de configurations techniques classiques mais efficaces, et de certains « indicateurs maison », issu de l’expérience (par exemple, les horaires spécifiques pour entrer en position dans telle ou telle configuration récurrente du marché etc, etc).


Pour finir, cette nouvelle gestion me permettra de revenir vers les actions, partie qui mérite plus de place dans ma gestion, puisque 75% du capital est bloqué « cash » tandis que mon compte de trading est de taille insuffisante pour remplir mes objectifs. C’est donc au départ (je ne suis qu’un humain et ceci est un blog personnel) une motivation personnelle qui m’a poussé à mettre en place des tests « incognito », et comme ils se sont avérés réussis, je passe à la pratique et comme de coutume, je le raconte dans mes pages.


Prochain RDV demain matin avant l’ouverture – suivi « light » c’est mercredi.