Blog

Le bonheur de vivre « ailleurs »

Dimanche 19 janvier 2014, 8h39

Articles déjà publiés ce week-end :

Image du PEA au 17.01.2014

Préparation de la semaine prochaine et de la séance de lundi


LOIN DE TOUT, SAUF DU BONHEUR


Les derniers gros titres des médias occupent le peuple, notamment cette histoire de cul banale d’un président banal, mou dans son métier mais sans doute pas tant que ça en privé. Ses petites escapades dignes d’un homme normal ne font qu’amener de l’eau à mon moulin : ces gens n’ont plus aucun sens des responsabilités et oublient ce pourquoi ils ont été élus dès le lendemain de leur sacre. Comment peut-on céder en plein jour à ce genre d’envie alors qu’on est sensé représenter la Nation, être le « Père » de tous les français, donner l’exemple ? Cahuzac trompe le fisc, Hollande sa gonzesse, et les autres, que nous cachent-ils ? Comment leur faire confiance ?

Celui qui nous parle de travail et de renversement de la courbe du chômage s’envoyait en l’air entre cinq et sept avec sa maîtresse au lieu de bosser : faites et croyez ce que je vous dis bande de nazes, moi je travaille au redressement de la courbe de ma nouille.


Mon conseil : Mr le Président, vous devriez venir habiter là où il n’y a pas de filles pour vous perturber la nouille, je vous promets que c’est très équilibrant, ça va vous calmer et vous allez pouvoir prendre du recul pour mieux gérer la France. Quand, au réveil, vous verrez ce genre de paysage, peut-être subirez-vous l’électrochoc nécessaire au bon exercice de votre mission, qui, je vous le rappelle, est d’améliorer le sort du pays et non celui de votre nouille ou de vos comptes en banque déjà débordants. Oui, cette France est belle, on doit la respecter, on doit la sauver, et c’est vous qui devez marcher vers le front en tête : quand on est Président, on doit s’oublier soi-même et se consacrer aux autres, juste pendant cinq ans. Même cela, vous n’en êtes pas capable, comme ceux qui vous ont précédé d’ailleurs. Si j’étais votre patron, je vous licencierais sans indemnité pour faute professionnelle (partie de jambes en l’air dans l’exercice de ses fonctions) et je vous collerais à la circulation.

Tout près du bonheur, loin de la lie de l’argent et du pouvoir, c’est ici. Faites-moi confiance Mr le Président, mieux vaut être distrait par une biche de la forêt de Grésigne que par une jeune femelle avide de grimper dans la hiérarchie sociale !


campagne printemps 201


Prochain RDV demain matin pour de nouvelles aventures boursières.